Bonsoir, un nouveau scénario que je livre:

Scénario : Le voile est levé.
Cette matinée de septembre avait commencé normalement pour N. A peine levée, elle s’était étirée, les bras croisés au dessus de sa tête, et ses seins relevés prônaient une certaine insolence à travers le Tshirt blanc. Ce denier lui descendait à mi cuisses, mais sous cet effet de chatte au réveil, il remontait doucement jusqu’à laisser apparaître la naissance des fesses. Son mari n’y fut pas insensible, et elle sentit une main venir se coller à plat sur son ventre, pendant qu’une autre plus hasardeuse lui caressait gentiment sa cuisse droite, remontant doucement vers un monde de plaisirs qu’elle se refusait sur le moment.
Elle avait à se préparer pour aller au travail, mais devait trouver le moment adéquat pour se connecter à Internet et présenter ses respects matinaux à son Maître.
Elle se dégagea en embrassant son mari tendrement, en lui disant ce soir je serais à toi de nouveau.
Puis, elle pénétra dans la cuisine et son visage baigné par la lumière du réfrigérateur, elle s’offrit un grand verre d’eau fraîche.
Ce mois de septembre annonçait les futures vendanges et des soirées de fêtes, mais pour le moment, le soleil se levait sur la terrasse de pierres et le ciel bleu engageait la maison à se préparer.
Le petit déjeuner, préparé et la table servie, elle alla réveiller les enfants, puis s’en alla vers la salle de bains du haut.
Elle continuait son cérémonial, commencé pendant ses congés d’été pour marquer chaque jour la marque de sa soumission, son appartenance à un monde caché, parallèle. C’était sa porte secrète, pour revenir rapidement à son état de soumise.
N prit le tapis devant la baignoire, l’installa au milieu de la salle de bains, se mit nue. Après un rapide coup d’œil dans le miroir, elle se plaça sur le tapis en tenue d’Eve. Elle s’agenouilla, les pieds serrés, les pointes tendues. Assise sur ses talons, elle se plia, poussant loin devant elle ses bras bien parallèles. Elle se prosternait devant son Maître, montrant ainsi comme chaque jour son désir d’être tenue en laisse, et d’être obéissante à sa volonté.
Elle resta ainsi deux minutes, puis se releva et pénétra dans la baignoire pour faire couler une douche mariant le chaud et le froid pour tonifier son corps.
Ses deux enfants avaient élargi son bassin, la condamnant à oublier certaines tenues affriolantes, mais elle continuait à s’entretenir pour se sentir désirée. Et sans être une de ces femmes clone des magazines, elle disposait de quelques atouts de charme qui lui permettait d’évoluer dans un monde d’hommes.
Sa toilette terminée, elle enfila un peignoir blanc, se rendit dans la cuisine pour vérifier si les enfants avaient terminé de déjeuner et les encourager à rejoindre leurs chambres pour s’habiller.
Son mari avait comme à son accoutumée, commencé par se raser, puis après un déjeuner rapide, était reparti sous la douche.
N, alla dans la salle à manger, ouvrit le meuble de l’ordinateur, et démarra la machine qui la reliait à son autre monde. Elle se sentait excitée, comme à chaque connexion, attendant patiemment l’ouverture de ses courriels de la nuit.
Elle démarra Messenger, ses contacts étaient tous hors ligne, elle découvrit deux messages, un de son Maître, l’autre d’une inconnue, dont elle n’avait pas le droit de lire le contenu. Peut être lorsque son Maître aurait jugé qu’elle le méritait ou que la teneur ne lui fasse aucune ombre, trouverait elle ce message dans le dossier « à lire ». Son Maître avait tous ces codes d’accès, elle lui avait donné, car ainsi elle s’abandonnait à son jugement pour la guider et lui faire découvrir de nouvelles expériences.
Elle ouvrit le courrier de son Maître, celui-ci lui fixait sa tenue pour la journée. Il la voulait dans une robe noire, longueur au dessus du genou. Elle devrait froisser deux feuilles de papier d’imprimante et les placer dans sa culotte. L’une devant son sexe, l’autre dans le creux de l’aine, afin de sentir une gêne, un contact omniprésent qui lui ferait se rappeler tout au long de la journée qu’elle était sa chose.
Son Maître lui indiquait que d’autres consignes lui seraient fixées dans la journée, et qu’elle devrait lire ses mails régulièrement.
Elle ferma le message, le rangea immédiatement dans le dossier intitulé : « Courrier du Maître » et commença une réponse rapide car le temps était compté.
« Mes respects Monsieur L,
Votre soumise chez elle, vêtue d’un simple peignoir blanc, nue dessous, cuisses écartées pour mieux vous servir.
J’ai pris connaissance de vos ordres Monsieur, et j’obéirais selon votre volonté. Je porterais ma robe noire, des dessous de dentelles noir et rouge, des sandalettes assorties.
Dès que j’arriverais au bureau, je porterais l’accessoire dont vous voulez me voir affublée.
J’ai des réunions aujourd’hui pour finaliser les projets futurs. Je ne serais donc pas disponible comme je le souhaiterais, mais je me connecterais régulièrement pour me plier à vos désirs.
N »
N se déconnecta, passa rapidement sur Dress pour prendre note de son courrier, et coupa l’ordinateur.
Son Maître ne s’était pas connecté ce matin, il devait être trop tôt, mais il lui avait écrit. Ce n’était pas un scénario complexe comme elle avait l’habitude d’élaborer la trame pour ses fantasmes, mais quelques mots lâchés, dont le sens précis ne permettait pas de confondre le sens donné. Il la voulait dans le monde réel, attachée à lui, de quelque manière que ce soit, et elle se plierait une fois de plus à cette exigence.
Elle se rendit à son travail, heureuse, épanouie, le cœur rempli du souvenir de son mari et des enfants dans l’entrée. Des baisers volés, des petits mots échangés pour permettre de mieux supporter la séparation de la famille.
Elle arriva au deuxième étage de bureaux, passa par la salle de repos où déjà certains de ses collaborateurs avaient entamé des discussions sur leurs soirées respectives. Elle entra, un sourire sincère affiché et la main tendue pour saluer les membres de l’équipe.
Elle se servit un jus d’orange, et se tourna vers sa secrétaire qui venait d’entrer.
Echange de sentiments sur la rentrée des classes, les listes de courses, et une adresse de boutique dans une rue derrière la Fac de médecine.
La journée s’annonçait sur une note amicale, qui permettait à Nath de diriger son équipe comme une bande de copains, mais dont les résultats étaient toujours salués pour la tenue des délais et l’efficacité des méthodes employées. Nath était cette femme aux mille visages qui pouvait passer d’une salle de conférences remplie de cadres dirigeants ou de clients étrangers importants pour se retirer dans son bureau pour se plier aux directives écrites par son Maître.
Une personnalité complexe qui se jouait de la compétition et devenait une tigresse dans les discussions d’affaires, et ce besoin incompréhensible de s’abandonner, de se laisser mener, humilier jusqu’à y prendre plaisir.
Ce côté noir de sa vie, elle le souhaitait caché, pour s’y plonger et pouvoir se relever pour s’épanouir en tant que femme sans nuire à ses proches, et sans se discréditer aux yeux des autres.
A chaque fois qu’elle s’abandonnait au travers d’Internet à la volonté de son Maître, elle se sentait fragile, docile, avec pour seul but celui d’obéir.
Une situation qu’elle ne pouvait partager avec personne dans la vie réelle, il lui fallait veiller après chaque connexion, à effacer toute trace d’historique, détruire les écrits, les photos pour ne pas se faire surprendre. La paix était à ce prix, la liberté d’ouvrir ou de fermer la porte secrète de sa soumission.
Nath entra dans son bureau, posa son sac à main sur un fauteuil, ferma la porte à clefs, s’approcha des baies vitrées, pour occulter la pièce en orientant les stores.
Puis elle se dirigea vers son fauteuil, ouvrit le tiroir de droite, en sortit deux feuilles de papier et commença à les froisser. Elle faisait ce geste comme un robot, sans penser, elle obéissait tout simplement, et ne commencerais son travail qu’à l’issue.
Elle releva le bas de sa robe, écarta l’élastique de sa culotte, et y glissa ces deux boules. Tout de suite elle ressentit une gêne, les feuilles réduites en boules étaient dures, présentaient des pics qui sans émettre une douleur importante, lui faisaient remarquer à chaque instant leur présence. Elle froissa à nouveau les feuilles au travers de la fine dentelle pour leur donner une forme plus appropriée, puis se rajusta. Elle donna un tour de clef pour autoriser l’accès du bureau et alla enfin s’asseoir.
Elle alluma l’ordinateur, se connecta au réseau de l’entreprise et commença son travail.
Vers 10 00 sa secrétaire frappa et lui amena le courrier et les documents à signer dans le parafeur.
Elle la remercia, l’écouta sur les rappels d’emploi du temps, puis se plongea dans la lecture des feuillets, seule à nouveau.
Les boules de papier lui occupaient l’esprit, elle les sentait violant son intimité, lui rappelant ses chaînes. Elle aurait pu se soustraire à cette épreuve, rien de plus facile, mais elle avait accepté le jeu , par défi, résignation, servitude.
Elle parcouru les documents jusqu’à l’onglet courrier personnel. Une enveloppe de papier Kraft marron, son nom en étiquette. Elle fut surprise de la sobriété de la lettre, plus habituée à recevoir des cartes postales du monde entier de ses différentes relations. Elle prit le coupe papier, ouvrit l’enveloppe et en sortit deux feuillets pliés tapés à l’ordinateur.
Elle examina ces feuilles, et se sentit rapidement mal à l’aise, se sentant épiée, surveillée, comme si quelqu’un l’observait.
Elle parcourait des yeux un historique de toutes ces connexions sur internet, les heures, les adresses qu’elle utilisait, le blog qu’elle entretenait. C’était comme une gifle, dont la chaleur lui brûlait à présent la joue. Elle était démasquée, mise à nue, mais qui ?
Elle le savait, les connexions d’ordre privé ne doivent pas faire l’objet d’un suivi particulier, c’était interdit par le code du travail.
Les règles de l’entreprise étaient claires, pas d’envoi de documents professionnels sur internet, et mises à jour des anti virus systématique. La seule demande de la direction se bornait à utiliser internet avec parcimonie en évitant un usage personnel dans les heures dédiées à l’entreprise.
Nath n’avait en tant que cadre supérieur, aucun horaire, mais ne jouait avec les connexions que lors des pauses déjeuner ou le soir après que ses collaborateurs aient quittés les locaux pour retrouver leur famille.
Ce relevé d’historique n’était donc pas officiel, elle aurait été convoquée discrètement par sa hiérarchie. Mais alors qui la surveillait ainsi ? Ce ne pouvait être qu’une personne affectée à la gestion administrateur du réseau de l’entreprise.
Une personne qui avait accès aux outils du réseau et pouvait contrôler chaque poste à l’insu de son utilisateur. Mais pourquoi, dans quel but, s’agissait il d’un contrôle interne de routine, ou d’un acte malveillant visant à lui nuire ?
Aucun commentaire explicatif, juste une suite de connexions avec les colonnes d’heures, de noms de sites visités.
Nath avait tout effacé, mais quelqu’un la surveillait en temps réel, elle commençait à avoir peur, un point au ventre. Oubliées les boules de papier, son esprit réfléchissait aux conséquences possibles, aux parades à élaborer. Elle commença par se connecter au réseau privé avec le trombinoscope des membres de l’entreprise, ceux affectés à la gestion du réseau et des ordinateurs. Elle en connaissait deux, sympathiques qui lui procuraient des jeux pour ses enfants. Qui alors avait pu lui envoyer ce courrier ? Un homme, mais peut être une femme ?
Mais dans quel but, elle ne les connaissait pas directement, et ne leur avait fait aucun tors à sa connaissance.
Elle se sentait fragile à présent, sa vie secrète démasquée, elle était à la merci d’une personne inconnue dont les intentions n’étaient pas encore exprimées. Attendre, laisser venir, faire comme si de rien n’était, ces principes qu’elle appliquait naturellement, étaient aujourd’hui moins net.
Pendant la pause déjeuner où elle n’avait rien mangé, elle s’était sentie épiée dans le restaurant, comme si sa vie était à présent connue de tous.
Elle se sentait victime d’un viol brutal et profond qui la blessait de manière continue, elle s’assit derrière son bureau et découvrit une enveloppe posée à côté de ses photos personnelles. Elle crut tout d’abord que c’était la même enveloppe que ce matin, qu’elle avait laissé en évidence, mais remarqua en la prenant qu’elle n’était pas ouverte.
Elle s’empressa de regarder ce qu’elle contenait. Une simple feuille pliée tapée et imprimée par un ordinateur.
Elle lut le contenu du message qui lui était adressé.
« Bonjour nath ou devrais je dire soumise N,
A cette heure, vous avez pu constater que j’ai en ma possession l’historique de toutes vos connexions au sein de l’entreprise. Je pourrais vous fournir le contenu de tous vos mails sortis de votre ordinateur, ou me contenter de ne donner que l’adresse de votre Blog. J’ai pu découvrir chaque facette de votre personnalité secrète. Nous sommes à présent deux personnes à connaître votre désir de soumission.
Dans un premier temps, je vous engage à continuer à vivre et correspondre sur internet comme vous le souhaitez. Si vous arrêtiez, ma contrariété pourrait vous être désagréable.
Ne cherchez pas à me connaître, cela serait une erreur qu’une femme aussi intelligente que vous ne commettrait pas.
Vous devez vous demander comment, pourquoi ? Je vous répondrai que chaque personne comme vous le dites si bien a mille visages. Je n’ai pas besoin comme votre Maître de vos codes de connexion, je les ai déjà en ma possession. Si vous les changiez, ce serait une autre erreur regrettable.
Ne cherchez pas d’issue salutaire, il n’y en a pas. L’araignée a tissé sa toile et vous attend au centre, quoi que vous fassiez. Pour le moment, obéissez à vos pulsions, libérez vos fantasmes, oubliez moi. Je vous contacterais à ma guise, au moment opportun. Vous aimez obéir aux consignes, alors laissez vous aller, et votre secret restera ici, profondément enfoui.
Pour me signaler votre accord, connectez vous immédiatement à votre Blog et écrivez dans le chat ces quelques mots : « La volonté est souveraine, la soumission est mienne. »
Je restais les bras lourdement posés sur mon écritoire, relisant chaque mot, essayant de trouver des indices de la personnalité qui se cachait derrière ce message. Mais la personne inconnue, me semblait androgyne, chaque mot avait été choisi pour tantôt asseoir une force masculine, puis jouer sur une note de subtilité féminine. Je me sentais vaincue, je déposais les armes comme anéantie. Mon seul désir était que mon secret reste gardé.
Le clip de Mylène Farmer m’accueillit, et les cierges allumés me paraissaient l’entrée des enfers. Je descendis la page et laissais le message comme demandé, premier gage de l’accord que je passais, et où je m’engageais une fois de plus sans connaître l’issue réelle du chemin.
Je me connectais ensuite sur Dress, puis j’allais sur Hotmail pour relever mes courriers. Je reprenais mes habitudes, mais cette fois nous étions deux, et je me sentais lasse, lorsque les boules de papier dans mon entre jambe me ramenèrent à d’autres sentiments, je devais aller lire les nouvelles consignes de mon Maître.
J'ouvrais la boîte de réception sur Hotmail et je lus les directives de Monsieur L. Je devais me rendre dans les toilettes pour dames, pour y retirer ma culotte, placer un bonbon dans mon anus, et retourner à mon bureau. Je devais rester ainsi à travailler pendant une heure avant de pouvoir aller me soulager cette fois dans les toilettes pour hommes et avoir le droit de reporter ma culotte.
Suite à la lecture de cet ordre, Je sens monter en moi une sensation mélangée de chaud et de froid, mon ventre se noue, comme tiraillé par une indicible peur.
Je me sais épiée, lue, comment faire, dois je continuer à obéir ?, ne sachant pas qui est la personne qui m’a découverte. Mon trouble est grand, bien que je sois assise, mes jambes tremblent. Il m’est impossible de taper quoi que ce soit sur le clavier de l’ordinateur. Je sens une goutte de sueur couler le long de la colonne vertébrale, partant des omoplates pour aller finir sa course dans la raie de mes fesses.
Une sensation inconnue jusque-là, mais après quelques minutes de totale perte de maîtrise, je parviens à me ressaisir juste au moment ou le téléphone sonne. Ma secrétaire me signale qu'un rendez-vous imprévu ce matin a été ajouté et qu’il ne peut être décalé.
Cet entretien tombe en plein dans la période durant laquelle je devrais me trouver sans culotte avec un bonbon dans l'anus.
Les questions affluent dans ma tête, pourquoi obéir, se plier à la volonté de mon Maître ?
Cette force contre laquelle j’aimerais lutter ce matin ne parvient cependant pas à me faire renoncer et désobéir à M L.
Je rassemble donc toutes mes forces, saisis mon sac à main dans lequel je glisse quelques bonbons aux fruits posés dans une coupelle sur mon bureau et je me rends aux toilettes pour femmes.
A peine sortie du bureau, je ressens à nouveau ces frissons et ces gouttes de peur couler dans le dos, je me sens épiée, fragile sur mes jambes, mais une excitation commence à naître de cette double soumission.
Jamais je n'aurais pensé me livrer ainsi, ne plus être seule à décider de mes actes. Cette pensée me déstabilise à chacun de mes pas.
Lorsque j’entre dans les toilettes dames, deux femmes s'y trouvent échangeant des commentaires devant le miroir et une cabine est fermée. Je salue rapidement les deux commères, jette un coup d'oeil dans le miroir, espérant que mon visage ne trahit pas ma honte naissante.
Puis rapidement, je pousse la porte d'une cabine et la ferme à clé.
Je me retrouve avec un sentiment par rapport à la punition des pinces décuplé par l’angoisse. Une question, un doute : Qui m'a découverte ?
Tremblante, mais refusant de ne pas obéir à Mon Maître, j’enlève ma culotte, la roule dans mon sac puis saisis un bonbon. Mes doigts tremblent, je regarde de tous côtés pour être certaine que personne ne peut m’observer. Je prends un peu de crème pour les mains dont je dépose une noisette sur le tour de mon anus afin de faciliter le passage du bonbon.
Je défais le papier autour du bonbon et l'introduis, après l’avoir sucé et laissé un peu de salive.
Il s'introduit sans problème mais me cause une gêne et une sensation d'avoir dans mon ventre quelque chose qui va tomber à tout moment. Cela m’oblige à serrer les fesses et je ne sais comment je vais tenir le coup durant le rendez-vous annoncé et durant tout le temps exigé par M L.
Je tire la chasse d’eau pour cacher ce que je viens de faire. Je rajuste ma jupe et sors de la cabine.
Les deux femmes sont sorties... ouf. Mais l'autre cabine est toujours fermée à clé. Qui s'y trouve ? Pourquoi n'est-elle pas encore ressortie ? Toutes ces questions me troublent et m’empêchent de raisonner.
Mais soudain, la sensation que le bonbon allait sortir de mon anus me fait revenir à la réalité de N, et je serrais les fesses à me faire mal.
Par chance je ne croise personne en rejoignant mon bureau. Le Rendez-vous devrait arriver dans 15 minutes.
Je fais de l'ordre sur le bureau, vérifie que tout est en ordre et relis encore un dossier en attendant l’heure de ce rendez vous.